S K R Y P T I A
Roman, paranormal, conte, faits sociaux... Lire ou offrir un ouvrage tout en aidant les animaux en détresse, c'est LIRE UTILE. Des "euros-animaux" mis de côté sur chaque achat d'ouvrage papier ou numérique.
jeudi 31 décembre 2020
mardi 19 mai 2020
mercredi 26 février 2020
SECOND EXTRAIT
Le lévrier n’est pas un objet, mais une personne non humaine, il est un être vivant comme nous, bien que différent. À ce titre, nous avons un devoir moral à son égard, car c’est notre espèce qui l’a mis dans cette terrible situation. L’aider à se sortir de l’enfer espagnol est aussi une façon, pour nous-mêmes, de ne pas se laisser impressionner par un archaïsme qui ne débouche sur rien de constructif pour nos sociétés, à l’image des divers extrémismes et intégrismes explosant aujourd'hui à peu près pour les mêmes raisons, mais dans des contextes historiques et culturels différents.
Le monde actuel a besoin d’espoir, il cherche à se recréer, à entretenir d’autres liens avec son environnement. Alors qu’on demande à l’Europe de créer un nouveau modèle économico-social, alors qu’on attend d’elle plus d’éthique et d’écologie, comment rendre compatibles de telles demandes avec le calvaire annuel des lévriers ? Si l'Europe souhaite continuer à soutenir son modèle social et être crédible, si elle veut que celui-ci serve d'exemple à d'autres pays situés dans le monde entier, elle doit prendre la parole sur le sujet, car son silence est semblable à un consentement à la cruauté, et pas seulement en ce qui concerne les lévriers. En ne se manifestant pas, nos institutions donnent implicitement leur accord... « Qui ne dit mot consent ! »
LE MOT DE L'AUTEURE
En tant que sociologue cela fait des années que je mets ma plume au service des liens que les humains tissent avec d’autres formes de vie, qu’elles soient minérales, végétales, animales ou autres. Cet ouvrage-ci a une place spéciale dans mon cœur, puisque j’y expose un épisode de ma vie privée.
En adoptant en 2016 Peter Pan, un galgo au lourd trauma psychologique, j’entre de plain-pied dans l’histoire terrible que vivent les lévriers espagnols. Lorsqu’un chien croise notre chemin de vie et que son âme rencontre la nôtre, un lien subtil surgit et laisse une marque indélébile. Celui ou celle qui ignore ce sentiment inconditionnel tissé entre soi-même et un animal est pauvre en conscience et je le plains, qu’il soit galguero, homme politique ou simple citoyen. En dehors de l’amour échangé entre espèces, ce lien subtil nous apprend qu’humain et animal évoluent selon une logique des vases communicants et que la maltraitance envers les animaux rejaillit fatalement sur nous-mêmes, prenant alors la forme de violences individuelles ou sociétales. De tout cela nous parlerons dans cet ouvrage dont le but est de favoriser une réflexion collective.
L’entrée dans la cause des lévriers espagnols fut également pour moi l’occasion de faire connaissance avec les anges gardiens terrestres de ces chiens en détresse, je parle des personnes se démenant sans compter pour en sauver le plus grand nombre, pour les placer en famille d’accueil puis les faire adopter, pour leur apporter des soins et faire connaître cette cause du grand public. Je leur rends hommage ici en restituant quelques-uns de leurs témoignages.
mercredi 30 octobre 2019
Lien vers l'ouvrage papier
Lien vers l'Ebook
Envois groupés à partir de 8 exemplaires et livraison à domicile offerte. Prix de l'ouvrage 18 € (260 pages)
En cas d'envois groupés 2 € sont mis de côté sur chaque ouvrage au profit des lévriers, contre 1 € si la commande se fait via Amazon. Envoyez votre commande groupée à skryptia@gmail.com qui vous répondra dans les plus brefs délais.
Skryptialement vôtre
vendredi 25 octobre 2019
Nous vous l'annoncions pour cet automne... Nous y sommes !
Le dernier ouvrage de Skryptia sera disponible à la toute fin du mois d'octobre 2019 sous forme de livre papier expédié par Amazon. Il sera également disponible sous forme de ebook.
Résumé : Découvrant il y a quelques années le calvaire que vivent les lévriers de chasse en Espagne, l'auteure adopte en 2016 un galgo au lourd trauma psychologique, puis fait à cette occasion la connaissance de responsables d'associations remontant vers la France des chiens abîmés par la vie, mais vivants. Touchant et poignant, son récit se présente comme un regard croisé entre sa propre expérience d'adoptante et les témoignages de personnes engagées depuis longtemps dans cette cause animale : Murielle Douheret, Isabelle Guillen, Marie-Noëlle Rozé et Jérôme Guillot. Lévriers sauvés et adoptés, lévriers acteurs de médiation animale, lévriers au coeur de combats politiques... Autant de sujets abordés avec intelligence et cœur dans cet ouvrage grand public préfacé par Michèle Striffler, ex-eurodéputée, connue pour son combat en faveur du bien-être animal.
Skryptialement vôtre
mercredi 28 août 2019
PROCHAINEMENT
Skryptia a l'immense plaisir de vous annoncer
la sortie, cet automne, d'un ouvrage sur les lévriers espagnols écrit par Sylvie Joubert. Découvrant il y a quelques années le calvaire que vivent les lévriers de
chasse dans ce pays, elle adopte en 2016 un galgo au lourd trauma
psychologique, puis fait à cette occasion la connaissance de responsables d'associations remontant vers la France des galgos et podencos abîmés par la vie, mais vivants.
Ce livre est un regard croisé entre sa propre expérience d'adoptante et les témoignages de quatre personnes engagées depuis plusieurs années dans cette cause : Murielle Douheret, Isabelle Guillen, Marie-Noëlle Rozé et Jérôme Guillot.
RESTEZ EN CONTACT
Dans quelques semaines, nous vous donnerons plus d'informations sur la date de parution et le titre de cet ouvrage. Il sera disponible sur Amazon en format broché ou ebook. En attendant, et pour vous tenir en haleine, nous proposons en lecture libre un petit extrait.
A bientôt !
EXTRAIT
Elle
était à mes yeux la plus belle, douce et exquise des chiennes, je n’éprouvais à
son sujet aucun reproche, aucun doute, aucune question, juste de
l’affection à l’état brut et sans condition. Elle était mon évidence et
j’étais la sienne, elle était mon plus beau matin du monde, mon amie et une
partie de mon âme. Parler d’elle, à cet instant, fait remonter en moi mille
souvenirs troublants, au point que l’émotion m’envahit comme si c’était hier,
comme si le temps n’existait plus lorsque je pense à elle. Me voici
replongeant dans ses yeux intenses de voyante, car c’est toujours ainsi que je
décrivais Naïa, cette petite reine blanche recueillie en 2001 dans un refuge et
qui partagea ma vie une douzaine d’années.
Que
de vivants souvenirs ! Nous partions à l’aurore nous rafraîchir dans la
grande bleue, gagnant ensemble le large, tels deux bouchons flottant à la
surface de l’eau. Lorsque nous trouvions une bouée, je m’agrippais à la corde
pour nous reposer, puis la belle se calait dans mes bras quelques minutes sans
bouger, humant l’air iodé de sa truffe alerte, le temps de reprendre le souffle
ou d’admirer l’immensité étale, ensuite, nous repartions côte à côte comme
auraient pu le faire Obelix et Idefix, Tintin et Milou, Rusty et Rintintin.
Naïa adorait l’eau et moi également, nos bains partagés étaient un rendez-vous
avec le bien-être et la béatitude, presque avec le divin. Cette croisée de
labrador et d’épagneul affrontait les vagues comme personne, passant de rouleau
en rouleau avec une incroyable dextérité, alors même que les humains effrayés
par la violence de la mer et son courant incertain n’osaient mettre un doigt de
pied dans l’eau. J’étais si fière d’elle !
Et
puis, comme dit la chanson, la vie sépare ceux qui s’aiment. Alors, elle s’en
est allée de l’autre côté, nager dans une mer inconnue avec de nouveaux
compagnons, attendant que je sois prête pour son grand départ, attendant bien
trop longtemps que je cesse de lutter et de croire à son impossible guérison.
Afin qu’elle ne souffre plus, j’ai conduit ma bien-aimée un vendredi 14 juin au
petit matin au terme de son aventure terrestre, et j’ai cru mourir d’un chagrin
plus ou moins coupable que je ne souhaite à quiconque, même pas à mon pire
ennemi. Je décidais alors de ne plus prendre de chien, n’en ressentant
d’ailleurs aucune envie pendant plusieurs années.
Jusqu’au jour où...
Jusqu’au jour où...
L’information
me parvient par le biais d’une vidéo de hasard visionnée sur le web, je ne me
rappelle plus de laquelle il s’agissait. Des images assassines ininterrompues
transpercent mon cœur, mettant mon âme à genoux, image après image. Regarder
cette vidéo me rappelle, bien que ne l’ayant jamais vraiment oublié, combien ce
monde compte d’ignominie, de souffrance et de cruauté humaine. Je clôture la
connexion, puis ferme l’ordinateur, vaincue par l’insoutenable réalité de ces
barbaries infligées à des chiens sans défense. Blessée par ces épouvantables
pratiques, me voici pleurant comme une enfant, un vieux bébé.
Au
fond, tout ceci me plonge dans un abyssal sentiment de honte à l’idée
d’appartenir à l’espèce humaine, me sentant otage de cette salissure et de
cette souillure collective. Et s’il suffisait d’appuyer sur un bouton pour
disparaître de ce monde à ce moment-là, j’appuierais peut-être. Qui sait !
Fermer le rideau, ne plus voir ces choses épouvantables, cruelles et
injustifiables. Ce n’est pas la première fois que remonte en moi
ce sentiment de dégoût, d’écoeurement et d’étrangeté vis-à-vis de notre espèce,
mais, cette fois, il est particulièrement fort et empoisonne ma vie.
À
nouveau, une question hante mes pensées, toujours la même : comment notre
espèce peut-elle engendrer Mozart, Charlie Chaplin, La Callas, Léonard de
Vinci, sœur Emmanuelle ou Einstein, mais aussi donner naissance à de sombres
bourreaux sadiques affairés à torturer et tuer des lévriers délicats, inoffensifs
et à leur merci ? Comment peut-on justifier tout cela au nom de la
tradition ou du gain financier, tout en imaginant des sévices à chaque fois
plus sophistiqués et douloureux ?
Au
regard de cette sombre perversité humaine, je m’adresse indignée à
l’énigmatique Créateur que certains nomment Dieu et d’autres autrement, lui
indiquant qu’il y a nombre de malfaçons dans le cœur de ses créatures, et qu’il
est peut-être temps de leur faire passer un contrôle technique.
Cette
énigme, je me la suis déjà longuement posée auparavant au sujet des deux
dernières guerres et des horreurs commises au nom de la patrie, des jeux de
pouvoirs et des idéologies, de toute façon je sais que je mourrai sans l’avoir
résolue. Aujourd’hui encore, cette question demeure pour moi le plus grand
mystère de la vie, bien plus encore que celui de la reproduction du vivant, du
big bang, des dimensions de l’univers ou de l’existence de Dieu.
Après
le cas des animaux martyrs, objets d’épouvantables expérimentations par la
science ; après les élevages-usines déshumanisés totalement
irrespectueux de la vie sensible ; après les trophées morbides suspendus
au-dessus des cheminées de stupides et répugnants collectionneurs, etc., je
découvre le canicide annuel des lévriers espagnols. Un génocide de chiens
entretenu au nom de la tradition par des individus peu recommandables, des
ignares et des sots de première catégorie, pour lesquels la vie de ces chiens
ne vaut pas un clou, ne signifie rien et même moins que rien.
Une
question toute simple succède à la précédente : que faire ? Quelle
partie de moi-même ou de ma vie puis-je offrir à cette cause ? Quelle action
puis-je entreprendre et assumer jusqu’à son terme ? Sur l’instant, la seule
réponse concrète surgissant à ma conscience est la suivante : et si tu en adoptais un ? Aussitôt le
mental, critique et rationnel par nature, monte à l’assaut et réplique que
sauver un chien n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan des dizaines de milliers
de condamnés annuellement, et que ce n’est pas ça qui va changer la donne. Comment
lui donner tort ? Évidemment, la raison dit vrai, comme d’habitude, mais
c’est tout de même un chien mort de moins et ça compte.
Adopter
un lévrier, oui, voilà ce que je vais faire, c’est décidé ! Sur l’instant,
cette décision me semble aussi folle que censée, angoissante et excitante à la
fois, dans tous les cas il s’agit d’une grande décision que je prends en mon
âme et conscience, après un rendez-vous avec moi-même. Plus par désir de faire
quelque chose en faveur de cette cause des lévriers que par envie personnelle
d’avoir un autre compagnon à quatre pattes chez moi, c’est ainsi qu’après ma
douce Naïa, entre dans mon existence un chien nommé Peter par le refuge
espagnol l’ayant récupéré. Il s’agit d’un lévrier espagnol couleur fauve, sorti
du calvaire par deux associations de bénévoles, l’une située en Espagne et
l’autre en France. Je le rebaptise Peter Pan pour lui donner de nouvelles
ailes.
Cette
période est aussi l’occasion pour moi de rencontrer des personnes formidables,
réalisant un travail de terrain incroyablement difficile en Espagne ou en
France. C’est à toutes ces personnes françaises, espagnoles et de toutes les
nationalités, que je dédie cet ouvrage : celles qui organisent des
sauvetages ainsi que des adoptions, celles qui deviennent familles d’accueil
pour ces blessés de la vie, celles aussi qui s’occupent de l’administration ou
de la logistique, ainsi que toutes les personnes pratiquant des soins sur ces
chiens le plus souvent meurtris : les vétérinaires, les interprètes
animaliers et les comportementalistes.
Ces
groupes d’anonymes, unis en associations ou pas, sont des résistants de l’ombre
luttant contre la barbarie ordinaire, vous comprendrez tout cela au fil des
pages. Il faut du courage et du cran pour affronter la souffrance à l’état pur,
quand on la rencontre dans les yeux d’un chien agonisant ou dans ceux d’un
lévrier vous regardant à travers une grille et qu’on laisse derrière soi,
sachant qu’il sera demain sacrifié dans l’une des nombreuses fourrières. Il
faut du contrôle sur soi-même pour ne pas sauter à la gorge ou injurier
l’assassin soupçonné d’avoir pendu ses lévriers à un arbre, faisant en sorte
que l’agonie des pauvres bêtes soit longue et pénible.
Je
n’ai pas ces courages, j’ai juste celui d’écrire et de témoigner, également le
courage d’espérer que, demain, les choses seront différentes pour les lévriers
espagnols grâce à toutes les initiatives naissantes, quelles qu’elles soient.
Certains appellent cela de la naïveté,
tout au contraire je crois qu’espérer est l’une des plus grandes formes
de courage. Je crois même qu’elle est à l’origine de cette puissance invisible
capable de soulever des montagnes. Oui, je crois que «L’espérance est une
détermination héroïque de l’âme, et sa plus haute forme est le désespoir
surmonté (...) L'espérance est un risque à courir, c’est même le risque
des risques. L’espérance est la plus grande et la plus difficile victoire qu’un
homme puisse remporter sur son âme… » [Georges Bernanos (1888- 1948),conférence 1945]
Cet
ouvrage parle des lévriers espagnols, mais aussi de l’action de milliers de
bénévoles engagés dans cette cause animalière (parmi d’autres), vivant auprès
de ces chiens mille peines et mille joies successives. Ces bénévoles sont des
anges gardiens assignés à la protection de ces chiens sur Terre, ils accompagnent ces lévriers dans leur voyage
jusqu’à leur nouvelle vie, après les avoir sortis des griffes des galgueros ou
des perreras (fourrières). Comme les anges gardiens de la tradition, les
bénévoles ne sont pas infaillibles, mais il ont la grande vertu d’être là pour
eux et de les aider du mieux qu’ils peuvent.
À
ce jour, si de très nombreux chiens sont sauvés annuellement, c’est grâce à la
chaîne que forment ces personnes entre elles, non aux institutions la plupart
du temps calfeutrées dans le déni et faisant comme si l’affaire ne les
concernait pas ou pas vraiment. Cet ouvrage entend porter à la connaissance de ceux qui
l’ignoreraient encore la situation de ces lévriers espagnols, mais il est aussi
un vibrant hommage à ceux et celles qui, à travers leurs initiatives petites ou
grandes, contribuent ensemble à rendre le monde des lévriers moins cruel, donc
meilleur.
Ce
livre est le fruit de rencontres avec des personnes dont Peter Pan fut le fil conducteur. J’ai souhaité donner la parole à Murielle, Isabelle,
Marie-Nöelle et Jérôme qui se préoccupent du sort des lévriers espagnols depuis
des années, chacun à leur façon. Lévriers sauvés et adoptés, lévriers acteurs
de médiation animale, lévriers sujets d’initiatives politiques... Vous
constaterez que les actions de ces personnes se complètent. Mais je n’oublie
pas toutes les autres dont cet ouvrage ne parle pas, et qui oeuvrent
quotidiennement pour que ces chiens puissent avoir un avenir, ce livre leur est
dédié.
Les rencontres ne sont
pas toujours le fruit du hasard.
Les fils qui tissent
nos vies sont beaucoup plus complexes et mystérieux.
Femmes, hommes,
animaux, enfants, tout n'est que hiéroglyphes.
[Gilbert
Sinoué, L'homme qui regardait la nuit (2012) ]
Skryptialement vôtre
Skryptialement vôtre
jeudi 21 mars 2019
RENUMEROTATION ISBN DES OUVRAGES SKRYPTIA
Certaines bibliothèques et médiathèques ne pouvaient avoir accès à nos ouvrages en raison de notre numérotation ISBN internationale. Afin que nos ouvrages soient référencés et présents dans les bases de données françaises, nous avons fait le nécessaire. Nous ouvrages seront désormais visibles pour vos établissements et pourront être plus facilement commandés.
CODE
CALAME ISBN 978-2-491016-00-5
Auteur :
Silvio GIZA
Style : roman policier
Biographie :
Skryptia
est la bannière de ralliement d’un collectif d’écrivains ayant
fait le choix de ne pas inclure de biographies au dos des ouvrages.
Persuadés qu’intelligence et coeur peuvent ensemble contribuer
positivement au monde, ceux-ci souhaitent simplement informer les
lecteurs qu’une partie de leurs droits d’auteur ira annuellement
vers des associations de terrain engagées dans des sauvetages
animaliers.
Résumé : Nous sommes
en 1930. Des meurtres en série très inhabituels plongent l’hexagone
dans un climat d’insécurité. Les victimes sont tuées à coup de
calames semblables à ceux utilisés pour l'écriture dans l'Égypte
ancienne, cette arme laisse les autorités perplexes. Depuis 1907 des
brigades de police mobile, appelées anciennement brigades du tigre,
sont sur le terrain et chassent les malfaiteurs de toutes sortes.
L'une d'entre elles se retrouve chargée de résoudre cette étrange
affaire du «calameur en série».L'équipe du commissaire Lebrun
tente de comprendre la logique qui pousse l'assassin à tuer de la
sorte : pourquoi utiliser cet objet inattendu ? Existe-t-il un lien
entre les victimes ? En cours d'enquête, éprouvant des difficultés
à saisir le mobile, le commissaire décide de faire appel à Margot
Chesnay, une égyptologue et amie de jeunesse perdue de vue. Peu
après son arrivée, des pistes surprenantes vont émerger.
Mots clés :
crime, tueur en série, meurtre, égypte antique, homicide, policier
historique, commissaire
Prix : 17 €
------------------------------------------
LA RUCHE, Le
peuple de Cassiopée ISBN : 978-2-491016-01-2
Auteur
Adrien CASSIO
Style : roman de science-fiction
Biographie :
Skryptia
est la bannière de ralliement d’un collectif d’écrivains ayant
fait le choix de ne pas inclure de biographies au dos des ouvrages.
Persuadés qu’intelligence et coeur peuvent ensemble contribuer
positivement au monde, ceux-ci souhaitent simplement informer les
lecteurs qu’une partie de leurs droits d’auteur ira annuellement
vers des associations de terrain engagées dans des sauvetages
animaliers.
Résumé : Je m'appelle
Adrien Cassio. Il y a quelque temps, j'ai découvert dans un massif
des Corbières un vieux manuscrit rédigé par un lointain parent,
celui-ci s'intitule : "Le peuple de Cassiopée".Ces
feuillets ont changé ma vie. Je les donne en lecture à ceux qui
pensent que le monde est plus incroyable qu'il n'y paraît, à ceux
qui pensent que nous ne sommes pas seuls dans l'univers et que les
êtres non terrestres ne sont pas seulement des personnages de
science-fiction. Les notes contenues dans ce manuscrit font état
d'une étrange rencontre ainsi que d'un voyage qu'il accomplit,
entre 1865 et 1867, au coeur de la constellation de Cassiopée, en
compagnie de créatures habitant la terre de Waalakie. Embarqué
malgré lui avec un de leurs équipages dans un vaisseau missionné
pour trouver La Ruche, il vécut un périple exceptionnel, le plus
inédit et improbable qu'un humain puisse imaginer. Son témoignage
heurta de plein fouet les moeurs et les croyances de l'époque, au
point
Mots clés : ovni,
extraterrestre, ufo, église, abducté, voyage spatial, alien
Prix : 17 €
----------------------------------------
LE DESTIN DE
MARIE. L’épopée d’une femme ordinaire ISBN 978-2-491016-02-9
Auteur :
Joséphine LAC
Style : roman d'aventure
Biographie :
Skryptia
est la bannière de ralliement d’un collectif d’écrivains ayant
fait le choix de ne pas inclure de biographies au dos des ouvrages.
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positivement au monde, ceux-ci souhaitent simplement informer les
lecteurs qu’une partie de leurs droits d’auteur ira annuellement
vers des associations de terrain engagées dans des sauvetages
animaliers.
Résumé : Comment
trouver la force de vivre lorsque que les guerres carnassières se
succèdent, dévorant les chairs, les amours et les espoirs ? Où
trouver ce supplément d’âme qui donne l’envie de relever la
tête et de se battre ? La réponse de Marie est simple : dans la
musique, le chant et toutes les vibrations exquises, laissant penser
que la vie vaut d’être vécue et que si l’Homme est capable de
créer de telles choses, il n’est peut-être pas tout à fait
mauvais. Devant elle, deux guerres meurtrières : celle dont tout le
monde affirme que ce sera la ‘der des der’, suivie quelques
années plus tard de la seconde. Entre temps, un voyage au Gabon sur
les traces de son Pygmalion, Albert Schweitzer, durant lequel elle
est initiée à l’iboga par la population locale et accède à un
monde subtil lui dévoilant quelques images du futur. De la petite
boîte à musique de son enfance en passant par son engagement dans
la Résistance avec pour seule arme son orgue de barbarie, c’est
dans l’épaisseur de la musique que le destin de Marie se sculpte.
Mots clés :
guerre,
France, résistance, musique, femme, histoire, nazisme
Prix : 17 €
PARANORMAL :
Questions – Réponses ISBN : 978-2-491016-03-6
Auteur :
Sylvie JOUBERT
Style : faits sociaux
Biographie :
Skryptia
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fait le choix de ne pas inclure de biographies au dos des ouvrages.
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positivement au monde, ceux-ci souhaitent simplement informer les
lecteurs qu’une partie de leurs droits d’auteur ira annuellement
vers des associations de terrain engagées dans des sauvetages
animaliers.
Résumé :
Qu'est-ce que le paranormal ? Est-il une croyance ? Est-il
irrationnel ? Faut-il en avoir peur ? Quelles sont ses manifestations
? Est-il l'ennemi de la raison ? Y a-t-il des preuves d'un au-delà ?
Que sont les "Autres" non humains... Les ovni(s)... La
transcommunication vidéo et audio (TCI)... Le phénomène des
orbes... La communication animale intuitive ? A ces questions,
ce livre amène des réponses accompagnées d'exemples concrets, un
support simple pour une réflexion approfondie sur le sujet.
Mots clés :
parasciences, au-delà, ésotérisme, fantôme, croyance, ovni, orbe
Prix : 17 €
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LE GARDIEN DES METAMORPHOSES ISBN : 978-2-491016-04-3
Auteur : Lyvia
Style : réalisme magique, conte initiatique
Biographie :
Skryptia
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fait le choix de ne pas inclure de biographies au dos des ouvrages.
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positivement au monde, ceux-ci souhaitent simplement informer les
lecteurs qu’une partie de leurs droits d’auteur ira annuellement
vers des associations de terrain engagées dans des sauvetages
animaliers.
Résumé :
La vie est partout et la conscience n’est
pas l’apanage de l’Homme, car les pensées entre espèces
s’échangent par-delà les apparences. Ce conte initiatique nous
fait voyager dans un imaginaire druidique, où l’âme des végétaux
rencontre celle des humains. Un chêne plusieurs fois centenaire,
doué de conscience et de mémoire, se souvient. Planté sur une
colline au XVIe siècle, l’arbre se fait au fil des siècles
l’observateur sensible des expériences et des passions humaines.
Cette proximité avec un monde de chair et de sang qui n’est pas le
sien, le met en contact avec le pire et le meilleur de femmes,
d’hommes et d’enfants venus à sa rencontre. Il les envie de se
mouvoir, de pouvoir agir ou voyager, mais demeure souvent consterné
par leur manque de sagesse. Au terme de quatre siècles d’immobilité
sur sa colline, il acquiert un autre corps et une vie nouvelle en
d’étranges circonstances le menant hors de cette Terre... Enfin
pas tout à fait !
Mots clés :
spiritualité,
conscience, nature, conte, végétaux, druidisme, histoire
Prix : 19 € (couleur)
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NINETTE ET LE
MAGICIEN ISBN : 978-2-491016-05-0
Auteur Lyvia
Style : conte initiatique / nature
Biographie :
Skryptia
est la bannière de ralliement d’un collectif d’écrivains ayant
fait le choix de ne pas inclure de biographies au dos des ouvrages.
Persuadés qu’intelligence et coeur peuvent ensemble contribuer
positivement au monde, ceux-ci souhaitent simplement informer les
lecteurs qu’une partie de leurs droits d’auteur ira annuellement
vers des associations de terrain engagées dans des sauvetages
animaliers.
Résumé :
Il
était une fois… L’Air, le Feu, la Terre et l’Eau à une
époque où ils ne s’appelaient pas encore ainsi et vivaient isolés
les uns des autres, sans Projet et sans Monde. Quand, tout à coup,
arriva le Magicien ! Il était une fois… Un monde qui devait
harmoniser de la meilleure façon possible quatre puissances magiques
: l’Ardeur, l’Enchantement, le Lâcher-Prise et l’Union. Ce
conte est une balade imaginaire pour enfants et adultes, mettant en
scène des personnages amusants : une bulle, une pierre, un dragon et
un fantôme. Ces personnages établissent un pont entre les quatre
éléments de la Nature et la construction de l’identité d’un
être vivant, car, grandir, c’est mettre en mouvement son écologie
intérieure. Ouvrage idéal pour accompagner son enfant vers une
réflexion sur la Nature et sur lui-même.
Mots clés :
nature, écologie, eau, air, terre, feu, genèse
Prix : 17 € (couleur)
mercredi 6 février 2019
ESPOIR 2019
Précédemment, nous vous expliquions comment les '€-animaux' récoltés par Skryptia iront en fin d'année 2019 vers les sauvetages de lévriers espagnols (galgos). Beaucoup de personnes ignorent quelle est leur triste histoire, nous vous proposons donc ce petit texte afin que vous compreniez ce qui nous a fait aujourd'hui choisir cette cause d’urgence et pourquoi nous invitons les particuliers, les bibliothèques et les médiathèques à devenir partenaires de notre démarche du LIRE UTILE.
Voici
les faits.
Le galgo
est un chien que la tradition espagnole rurale destine à la chasse aux lièvres,
ils sont donc lâchés en duo, jusqu’à ce qu’il y ait un vainqueur et un perdant.
Il en va de l’honneur du galguero (le chasseur) que le chien attrape le gibier.
Dans le cas contraire, la tradition stipule qu’il y a un affront à laver et que
cela donne un droit de vengeance au chasseur consistant à faire souffrir
l’animal. Ce type de comportement accrédite totalement ce que disait F.
Nietzsche « La cruauté est le remède de l’orgueil blessé ».
Or, qu’est-ce que l’orgueil, sinon le fait d’être persuadé de sa propre
excellence et de se juger supérieur aux autres.
De façon plus vénale cette fois, ces lévriers
espagnols ne servent pas à chasser dans
le but de se nourrir. En réalité, les proies sont surtout l’occasion de faire
s'affronter deux chiens autour de grosses sommes d’argent misées par les
« joueurs-chasseurs ». Au final, le chien le moins apte à chasser est
éliminé, d’une façon ou d’une autre, parfois par pendaison, notamment par la
technique du piano consistant à ce que l’animal meure petit à petit dans la
plus grande souffrance. Toutefois, au bout de quelques années, même un chien
jugé méritoire sera supprimé, car moins performant et plus assez rentable.
L’entraînement sportif de ces chiens de haut
niveau se fait en groupe, il sont attachés derrière des véhicules et obligés de
courir, de sorte que les chiens qui ne vont pas assez vite, ou qui chutent,
sont traînés, laissés en sang et, bien entendu, ni soignés, ni achevés.
Précisons que les lévriers-galgos espagnols n’ont pas le monopole de ce
traitement infâme, puisque d’autres chiens de chasse subissent les mêmes
maltraitances sous forme de pendaisons, de mutilation, de coups, etc.
Si le chien a donné de bons résultats et que cela a été un « bon galgo », il peut être épargné ou pendu
d’un coup avec moins de sadisme. Considéré comme un mauvais chasseur, le galgo est
pendu avec les pattes arrière touchant le sol et les pattes avant battant dans
le vide, d’où le nom de position du pianiste ("tocar el piano"), jusqu’à
l’asphyxie après des heures de vaine résistance sur deux pattes. Il arrive aussi qu’on asperge le chien d’essence pour le brûler vivant. Il est
également courant qu’on le tire derrière une voiture sur plusieurs kilomètres,
qu’on le jette au fond d’un puits, qu’on le pique à l’eau de javel, qu’on lui
brise les jambes en le laissant mourir ou qu’on l’éborgnant. Parfois, on leur
bloque la gueule en insérant un bout de bois entre la mâchoire supérieure et
inférieure afin qu’il meure de faim et de soif. Bref, cette orchestration
sadique et perverse est ainsi faite pour que l’animal souffre le plus longtemps
possible.
Fiction ou réalité ? Nous aurions aimé vous
dire « poisson d’avril »… Hélas, il n’en est rien !
Terminons ce listage macabre en mentionnant
qu’ils sont à l’occasion vendus comme appâts de pêche, utilisés comme cibles
vivantes pour le tir ou bien comme proies pour l'entraînement des chiens de
combats. Ces galgos sont couramment affamés et rendus squelettiques, comme le
confirment les innombrables photos prises par les personnes effectuant des
sauvetages ; nous vous épargnons les photos, que ceux qui supportent aillent les voir sur le web, car il y en a beaucoup Enfin, ils peuvent être abandonnés aux abords de villes
et autoroutes, survivant en faisant les poubelles, après que les chasseurs
(galgueros) aient pris le temps de leur arracher la puce électronique en
ouvrant au couteau le cou des chiens dans le but évident de ne pas être
retrouvés.
Les galgos/podencos trouvés par des bénévoles de
refuges ont un avenir, tandis que ceux récupérés par la police sont conduits
dans une fourrière nommée « perrera », où ils sont généralement gazés
au bout de 14 jours dans des conditions de vie que chacun peut imaginer… Je
vous laisse envisager le parallèle historique qui peut être fait ici !
Pour en terminer sur une note d’espoir, signalons
que de plus en plus de galgueros acceptent de les porter directement dans les
refuges lorsqu’ils ne servent plus à la chasse, plutôt que de leur infliger ce
qui vient d’être énoncé : c’est un début ! Les associations sont pour beaucoup dans ce changement de comportement. Par ailleurs, de plus en plus
d’Espagnols courageux et conscients de cette barbarie se dressent et font leur
possible pour que le statut du chien de chasse change, s’organisant
souvent en association, et demandant à ce que les galgueros soient sanctionnés.
Leur but est que la législation sur le droit des animaux ne soit pas seulement
appliquée aux animaux de compagnie. D’autre part, des associations réparties en
différents pays oeuvrent également pour que la situation s’améliore, tant au
niveau des urgences de sauvetage que des approches du monde politique et
institutionnel.
Attention, ne généralisons pas, précisons que
ce comportement n’est pas plus représentatif des Espagnols en général que Daesh
ne l’est de la communauté musulmane et qu’il faut donc ne pas faire d’amalgame.
Toutefois, ces faits existent, il est inutile de les nier ou de les
relativiser par quelque subtilité intellectuelle. Il est tout aussi vain de les
justifier par des plaidoiries scabreuses, venant nous expliquer qu’on ne peut pas
comprendre ni juger cette tradition espagnole. Respecter le principe de la vie
passe aussi par le fait de s’arrêter de justifier ce qui ne peut l’être, c’est
le cas ici.
Toutes les études scientifiques et tests réalisés
montrent que l’animal est pourvu de conscience, d’intelligence, d’émotion et de
sensibilité à la douleur. En certains cas, il peut même faire preuve de plus
d’intelligence et de compassion que nous-mêmes, mais cela est un autre débat.
Ce qui vient d’être dit sur le galgo est la réalité brute.
Concrètement, plusieurs milliers de ces chiens de type galgos et podencos
sont sacrifiés annuellement dans ce pays, selon les méthodes évoquées plus
haut. Cette estimation est réaliste et sans exagération, elle est même
très inférieure à ce qui est annoncé fréquemment. De toute façon, il n’existe
généralement pas de chiffrage officiel lorsqu’il s’agit de pratiques obscures
et cruelles, comme celle-ci.
Une petite phrase court sur le web, elle dit ceci : « Quand
les humains sont oppressés c’est une tragédie, quand les animaux sont oppressés
c’est la tradition ». Doit-on laisser faire ce que nous venons de vous
décrire au nom de la tradition ? La réponse unanime des auteurs de
Skryptia est NON. Nous avons donc choisi d’aider, dans la mesure de nos moyens,
des associations impliquées dans le sauvetage de ces animaux, en leur reversant
une partie de nos droits d’auteur. Par ailleurs, nous mettrons en lumière cette année 2019 les parcours de vie de personnes agissant sur le terrain, des
personnes ordinaires comme vous et nous, des bénévoles qui partent en convois spéciaux pour sauver le plus de chiens possible. A cet effet, nous réaliserons un ouvrage basé sur les récits de deux personnes consacrant leurs vies à ces sauvetages
d’urgence... A suivre !
Skryptialement vôtre
dimanche 2 décembre 2018
Une goutte d'eau dans l'océan, mais...
Nous avons conscience que les euros-animaux collectés en 2019 avec cette ligne éditoriale naissante ne sont qu'une goutte d'eau dans l'océan, car la cruauté et la bêtise humaine à l'encontre des animaux sont incommensurables. Mais nous pensons aussi qu'il n'y a pas de petites actions, seulement des actions à la mesure de chacun. Notre souhait est de pouvoir donner dans un an deux chèques à deux associations engagées dans des sauvetages d'urgence, peut-être plus si les ventes le permettent.
Cette année sera celle des lévriers espagnols, également nommés galgos et podencos, qui subissent un véritable "caninocide" depuis de longues années dans le silence des autorités. Afin d'expliquer clairement la situation aux lecteurs, nous ajouterons prochainement un post sur ce thème... à suivre.
Ce que vous devez savoir, c'est que des associations européennes (et espagnoles) se mobilisent pour extraire ces chiens de la mort, des tortures et de maltraitances diverses. Croyez bien que les héros ne sont pas ceux et celles qui s'agitent sur les écrans plats de nos téléviseurs HD ou dans les salles de cinéma. Non, les authentiques héros sont ces milliers de personnes qui se rendent sur le terrain pour sauver ces chiens ainsi que les adoptants donnant un foyer aimant à ces rescapés la plupart du temps squelettiques, blessés et psychologiquement meurtris. Ces personnes c'est vous, c'est nous tous.
A bientôt pour un, post sur ce sujet délicat !
Skryptialement vôtre
samedi 1 décembre 2018
QUI SOMMES-NOUS ?
QUI EST SKRYPTIA ?
Un collectif d'auteurs partageant la même démarche : mettre de côté des "€-animaux" qui iront en fin d'année vers des associations s'occupant d' animaux en grande souffrance. Nous proposons des ouvrages grand public dans des styles différents.
EN QUOI CONSISTE CETTE DEMARCHE ?
Sur chaque ouvrage vendu sous la bannière SKRYPTIA ,
- 1€ prélevé sur les droits d’auteur pour 1 E-book ou 1 livre papier commandé en ligne chez Amazon ou ailleurs.
- 2€ prélevés sur les droits d’auteur pour 1 ouvrage papier acheté directement sur stand lors d'une manifestation ou à l'occasion de commandes groupées.
- 2€ prélevés sur les droits d’auteur pour 1 ouvrage papier acheté directement sur stand lors d'une manifestation ou à l'occasion de commandes groupées.
roman policier
roman d'aventure
roman de science-fiction
réalisme magique
conte initiatique
PARANORMAL : questions-réponses
QUI SONT LES AUTEURS ? Ecrivains ou anonymes, peu importe qui ils sont ! Tous sont d'accord pour soutenir cette initiative, parce que la souffrance animale les insupporte. L'important est que leurs ouvrages touchent votre coeur... un peu... beaucoup... passionnément... Puis que cet élan de partage entre vous et eux rejaillisse aussi, en bout de course, sur des animaux en souffrance.
QUEL EST LE CHOIX DES AUTEURS ? A contre courant de la 'peopolisation' qui pousse un auteur à se mettre en avant pour faire connaître ses ouvrages, ces écrivains ont fait le choix de ne pas parler d'eux et de rester dans l'ombre de cette ligne éditoriale qui fait passer l'histoire de vie des animaux avant celle des auteurs. Ils ne feront donc pas de promotion à titre personnel des ouvrages qu'ils ont confiés à SKRYPTIA. Il n'y aura qu'une communication collective sous un même blason.
QUE SIGNIFIE BANNIERE ? Que les auteurs appartiennent tous au même ban, que SKRYPTIA est la personne morale qui les représente tous et en toutes situations. Elle constitue un point de ralliement en terme d'engagement et de valeurs. Les dédicaces se feront donc toujours sous le nom collectif 'Skryptia', jamais individuellement.
OBJECTIF ? Enrichir chaque année la ligne éditoriale de deux ouvrages supplémentaires. Nous souhaitons également faire connaître cette démarche aux instances culturelles françaises et faire d'elles des partenaires.
Si notre projet vous plaît, faites le connaître à vos amis. Si vous avez des cadeaux à faire, pensez à nous, et n'hésitez pas non plus à laisser des commentaires sur Amazon.
Merci
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